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Le système est basé sur trois éléments :
- le profil : défini par la position du château et de la cheminée. Il existe cinq combinaisons (P1 à P5) : cf. figure 1
- la séquence : définie par la position des différents mâts, grues, rampe, portique, cheminée, décrit à partir de l’avant. Ainsi un grand mât ou un mât sur le château est codé M, un petit mât est codé K, une grue C, une rampe R, un portique roulant N et une cheminée F (cf. ci-dessous).
- la forme de la coque : définie par la présence de gaillards et d’île, les cas extrêmes étant : pas de gaillard du tout (H), ou un gaillard avant, une île au centre et un gaillard arrière (H123).
La figure 2 décrit les possibilités de codage.
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Il y un gaillard avant, pas d’île au niveau du château, l’arrière est masqué, d’où H1 ou H13 (mais peu probable que ce type de navire ait un gaillard arrière).
Donc, en résumé : KCKCKMFK2 H1 P2.
Là où je ne suis pas d’accord avec l’auteur, c’est au sujet du mât Stulcken (le 2e K) qui aurait dû être codé M.
Les figures ci-dessous représentent trois pages d’exemples, dont celle qui concerne le JAPAN CAOBO.
Il est certain que cette méthode était valable à l’époque où les navires étaient dotés de nombreux mâts de charge. Elle a perdu de son efficacité pour des navires modernes qui sont tous très similaires, de type KMF H13 P4.
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