La marine marchande au
jour le jour... |
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Navires
cités dans cette page ( cliquez sur leurs noms ) :
Aintree - Alessia
- Atlantic Bridge - Atlantic Cartier
- Belle-Ile - Black Pearl
- Bon Secours I - Bro Bara
- Capitaine Louis Thomas - Chambon Sirocco
- Chassiron - Clipper Sky
- CMBT Maeterlinck -
Côte d'Albâtre
- Croisic - Daniel Laval
- Dieppe - Elite - Fairy
- Fionia Swan - Frederyk Chopin
- FS Philippine - Insula Oya II
- Jan Meeder - Le Vigilant
- Love Divine - Maersk Flensburg
- Maeterlinck - Med Barcelona
- Mercantic - Mon Ami - MSC Peggy
- Navion Hispania - Nedlloyd Europa
- Neptune Dynamis - Nordatlantic
- Nordscot - Nova Flandria
- Obstiné - Ophir -
Paco Palla - Pavel Korchagin
- Peter Sif - Pointe Vieux Fort
- Pourquoi Pas ? - Saint-Denis
- Sardinia Vera - Scandutch Helvetia
- Sea Weser
- Sealand New York - Seaoath
- Seven Sisters - Signako
- Spar Ruby - Splittnes
- Surfer 323 - Tina Jakobsen
- Ville de Canopus - Zapadnyy |
Christian Plagué
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Didier Perrin
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27
février 2006 |
Christian
Plagué à Donges |
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Yannick
Le Bris
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Voici les premières photos du CÔTE D’ALBÂTRE. Note du web captain : Ce navire fera l'objet d'un reportage complet quand notre reporter sera revenu de mission ! |
Les deux premières ont été prises respectivement à 3h30 et 4h30 (croisement avec un autre navire… non identifié) alors qu’il est mouillé au large de Dieppe en ce 27 février 2006. |
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Ce
navire battant pavillon français (son équipage comprend
une quarantaine de membres, presque tous normands) assurera, à
partir du 5 mars, la liaison Dieppe-Newhaven à raison de dix rotations
hebdomadaires, et ce à la place du SARDINIA VERA
jusqu’ici loué à la Corsica Ferries.
Ses principales caractéristiques sont les suivantes : 150 m de long – 24,40 m de large – 70 camions ou 250 voitures – 600 passagers – Puissance 18 900 kW – Vitesse 21 nds (traversée en 3 h) – Stabilisateurs anti-roulis - 49 cabines de 4 couchettes (tout confort) – Grand bar panoramique – Un restaurant – Cinq salons - Salle Internet – Salle de réunion - Boutique – Espace enfants. |
Transfert
au Quai de Norvège. Pour cela, il a dû traverser l’avant-port,
passer le pont tournant, traverser l’arrière-port, passer
une écluse (pas trop large pour lui…) débouchant sur
le Bassin du Canada et, enfin, atteindre le Bassin de Paris. Pilote et
remorqueurs CHAMBON SIROCCO & OBSTINE
l’ont assisté pendant ce transfert. |
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25
février 2006 |
Yvon Perchoc Yannick
Le Bris évoquait ci-dessous l'entrée en bassin, à
Brest, du Chassiron pour le changement d'une pale d'hélice, après
que la réparation à flot ait été abandonnée.
En 2000, c'est la solution de travaux à flot qui avait été
choisie pour le tanker BRO BARA (ici à Brest).
Un ballastage important à l'avant du navire permit de rendre accessible
l'hélice. Une situation extrême où les calculateurs
de contraintes faisaient probablement l'objet de la plus grande attention. |
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Hervé Cozanet Je
ne crois pas que sortir l'arbre porte-hélice au-dessus de la flottaison
pose de gros problèmes de fatigue. Ce n'est pas un ballastage habituel,
évidemment, mais il est souvent prévu dans les documents
du navire. Voici une photo d'un VLCC dans cette situation. Pour un navire
de la taille du Chassiron, ce doit être encore plus facile, d'autant
qu'il a une hélice à pas variable et qu'il suffit de changer
une pale. L'armateur a en fait profité de l'occasion pour passer
au bassin et faire un carénage et d'autres travaux. |
Yannick Le Bris
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Laurent Hecquet — D'après Libération de ce matin, la Marine Nationale va procéder à la dépollution d'un navire au large d'Ouessant. | ||
Roland Grard
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24
février 2006 |
Christian Plagué
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Robert Fournier
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Christian Plagué
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23
février 2006 |
Yvon
Perchoc — Un petit navire à rayer de la liste des
navires marchands français. Le petit caboteur POINTE VIEUX
FORT a en effet été récemment renommé
LOVE DIVINE et est passé sous le pavillon de la
Dominique. |
Il
était auparavant basé à Pointe à Pitre où
il assurait des liaisons avec les îles du Nord (St Martin, St Barth).
Lancé en 1964 à Marstal comme MERCANTIC
(bien connu des modélistes), il deviendra FAIRY
en 1974, SIGNAKO en 1976, PACO PALLA
en 1994 (intérêts français), puis POINTE VIEUX FORT
en 1995. Durant sa carrière, il subira de profondes transformations
de sa silhouette. |
POINTE
VIEUX FORT arrivant à Pointe à Pitre le 19/02/1999 |
LOVE
DIVINE à quai à Portsmouth (Dominica) le 13/01/2006 |
Roland Grard
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Le
MERCANTIC en vraie grandeur... |
...
et en maquette |
Le
voici au temps où il s'appelait le SIGNAKO |
22
février 2006 |
Fabrice
Lacroix —
Il y a 20 ans déjà, ACL
faisait installer des glissières en pontée sur ses navires
de 3e génération équipés de panneaux
de cales (tout du moins sur l'avant car le parking ro-ro avance loin dans
le navire) ; par ailleurs, j'ai vu des conteneurs chargés par des
engins de manutention horizontale dans ces parkings. |
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Roland Grard Renseignements
pris auprès de mes collègues ex-P&O Neddlloyd, le manque
de succès des navires « Hatchcoverless » est lié
à l’augmentation des droits de port en raison d’une
jauge accrue. Pour ce qui est de la sécurité, les navires
de la série NEDLLOYD EUROPA sont largement en
avance sur les autres porte-conteneurs : le risque de passage par-dessus
bord de boîtes est limité en raison de la hauteur de leur
franc-bord et des glissières qui évitent le recours au «
lashing » traditionnel. Seul le dernier plan est saisi, et l’on
notera la présence de panneaux de cales sur la partie avant afin
de satisfaire aux exigences de certaines classes de conteneurs dangereux.
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Christian Plagué A gauche, passage sous le Pont de Saint-Nazaire hier soir du porte-conteneurs MAERSK FLENSBURG (London), long de 125,08 m et d'un port en lourd de 11 135 t, construit en 2002 (IMO 9252773). A droite, toujours hier, à Donges 7, le pétrolier norvégien NAVION HISPANIA (Stavanger) avec ses 110 000 t de pétrole brut, construit en 1999, d'un port en lourd de 126 183 t (deux cheminées comme le Fionia Swan, cf. infra). IMO 9168922. |
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Yvon Perchoc Sur cette photo prise à Brest le 04-02-1988, on voit que les conteneurs crevés sont ceux situés sur les bays avant et donc directement en contact avec les éléments déchaînés. Or, lors des récents évènements, ce sont des bays non exposées aux paquets de mer qui sont ici concernées. Il semble donc que la raison des effondrements soit une défaillance de conteneurs supportant une pile. D'accord pour un gerbage sur sept plans en cale, où les glissières maintiennent les efforts dans l’axe des montants, mais en pontée, intuitivement il semble que la charge encaissée par les conteneurs inférieurs associée au roulis tende au flambage. Ma question est donc : l’échantillonnage des conteneurs a-t-il évolué en fonction de la construction de gros porteurs et de pontées aussi hautes ? Et, dans l'afffirmative, un « vieux » conteneur peut-il se retrouver en pied de pile ? |
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21
février 2006 |
Yannick Le Bris Voici deux photos de l'ALESSIA, prises ce soir à Brest, et l'article du Télégramme
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Christian Plagué
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Ci-contre, remorqueurs BON SECOURS I et LE VIGILANT |
Et le 6e pont de Rouen en cours de construction
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20
février 2006 |
Christian Plagué
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Hervé Cozanet SURFER 323, en cours de finition à Concarneau |
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Toujours
à Concarneau, en attente de carénage INSULA OYA II |
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A
Brest, ARION en carénage et ... LA RECOUVRANCE prépare son
gréement |
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