Reportage: Le méthanier LNG BONNY
en arrêt technique à Brest.
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Le gaz naturel est chargé sous forme liquide à une température
d'environ -162°. La cargaison est conservée ainsi pendant la
traversée, grâce à l'isolation des cuves, mais sans
autre traitement. |
photo Helderline |
Les apparaux de pont marchent à la vapeur.
Les treuils d'amarrage ont été vidés pour changer les fils d'acier. |
Le gaz qui s'évapore en permanence est transféré à la machine par ce collecteur. Des clapets automatiques protègent des surpressions. Ce grand couvercle en inox viendra remplacer la bache rouge mise pendant les travaux. | ||
Soufflet de dilatation sur ce collecteur en acier inox |
Les bouches de connexion cargaison. Trois pour le liquide,
une pour le retour de gaz. |
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Les colliers bleus repèrent les collecteurs de gaz liquide |
La centrale cargaison abrite le local de commande et de contrôle, et les installations de récupération de gaz vers les chaudières. |
Le gaz qui s'évapore est d'abord réchauffé à température ambiante dans ces échangeurs puis transféré vers le compartiment machine par des turbos compresseurs. | |
Le vaste PC cargaison regroupe des grands synoptiques avec les commandes de pompes et de vannes. Toutes les informations sur les niveaux et températures dans les cuves sont traitées ici et permettent le calcul de la quantité de cargaison, des tirants d'eau etc... | |||
L'atmosphère dans les espaces autour des cuves est maintenue inerte au moyen d'azote produit à bord. Des échantillons sont prélevés en permanence et analysés par cet ensemble. | |||
Ces cuves de stockage font 50 m3 chacune. A l'origine le navire y embarquait de l'azote liquide, elles servent maintenant de "buffers" à l'installation de production. |