Christian Plagué

Pour s'ancrer résolument dans l'avenir...

Epaves gisant sur la grève dans l'estuaire de la Dive, entre Dive et Cabourg.

Françoise Massard

Cette épave, elle, a près de 1 800 ans ! Quelle est-elle ? où est-elle ?

Jean-Paul Malachane

Deux aspects du port de Sète
- Affluence à la criée
- Manoeuvre de sortie du MARRAKECH EXPRESS (Comanav)

Françoise Massard

A la question "A quelle température doit-on maintenir les cales d'un bananier ?", la réponse consensuelle est 12-13 °C, légèrement variable en fonction des produits (espèce, maturité, traitement, conditionnement, etc.), de la durée du transport, etc.
Ci-contre, retour en clin d'oeil sur les bananiers des années soixante-dix.

André Le Mens

Ce tableau est une fiction. Il représente le passé rencontrant le futur... Le PETER RICKMERS rencontrant le RICKMERS HAMBOURG en mer de Chine.
Tableau peint par Mr Jochen Sachse, ami de Mr Rickmers.

De la part de Mme Elisabeth Schuler, Executive Secretary de la compagnie allemande Rickmers et de tout le personnel de cet armement

PETER RICKMERS

Photo Jeune Marine n° 164

(Ce navire, cinquième du nom, fut construit en 1961 et ferraillé en 1985, NDLR)

Yvon Perchoc
"Je ne pense pas qu'il s'agisse du ONO. Ce navire a brûlé au cours d'un voyage de Dakar vers Alicante, non loin de ce port puisqu'il y arrive le lendemain à la remorque. De plus, le navire sur la photo est en France puisque qu'il arbore le pavillon tricolore comme pavillon de politesse. En éclaircissant la vue, il me semble reconnaître le bateau-pompe LACYDON. La scéne pourrait donc se dérouler à Marseille... Un colistier du PAM pourra peut-être dire si la grande grue en arrière-plan appartient au paysage marseillais."

François Malgorn
"Ce navire est bien en feu dans le port de Marseille. Cette photo est extraite du N°1 de Paquebots et Marine Marchande, devenu depuis Navires et Marine Marchande. Le document est d'origine marins pompiers de Marseille, mais la légende n'indique pas le nom du navire."

Roland Grard
"Je confirme que cette photo a été prise à Marseille, elle m'avait été communiquée par le photographe travaillant pour le PAM."

Qui pourrait donner la réponse ?

Hervé Cozanet
A propos de fêtes de fin d'année, c'est l'occasion à bord de demander au personnel restaurant de se dépasser. Un ami commandant en activité m'a envoyé ces photos du buffet préparé par son équipe de Philippins l'année dernière. Beau buffet n'est ce pas? Le cochon de lait avec la pomme entre les dents est une habitude constante chez eux.
Pour avoir le temps de préparer et de savourer tout cela, il vaut mieux naviguer au long cours...

Marc Larroche

Epreuve de bigue (1992) de 70 t + surcharge réglementaire de 7 t, à bord du CAPITAINE WALLIS.
Pour réunir le poids en Australie, on nous demandait une somme astronomique, j'avais trouvé cette solution (20 fois moins chère). La bigue m'inquiétait moins que le quai... pas du tout fait pour ce genre d'exercice.
De nos jours,pour ce genre d'épreuve, on soulève des sacs remplis d'eau de mer (au mouillage ou à quai). A Hong Kong en 89, sur le CAPITAINE SURVILLE, ex Haussman, bigue de 150 tonnes t, nous avions soulevé une barge avec le poids des ballasts de cette barge réglé en consequence.

Roland Grard

Qui saura reconnaître à quelle série ce plan des formes appartient ?

Jean-Claude Sinnesael : "Peut-être de la série des AQUILON ?" Bonne réponse ! Cf. reportage sur les navires polythermes.

Yvon Perchoc

Comme le FALLERON, un autre ex-navire de la Marine Nationale est passé lui-aussi sous pavillon des Comores dans le début des années 1980 : l’ISSOLE.

Je me souviens de l'avoir vu à Brest, au 5è nord, en 1981/82 (?), se préparant à la grande traversée vers l’Océan Indien. Il avait été renommé VILLE DE NIOUMACHOUA, port d’attache Moroni. Je l’ai revu une dizaine d’années plus tard, en mars 1991, au mouillage en rade de Dzaoudzi (Mayotte), toujours sous le même nom. Les charnières de sa porte d’étrave, condamnée depuis belle lurette, étaient toujours bien visibles.

Nous avons également une association de peintres de marine belges qui compte... deux femmes .
En annexe, quelques reproductions (à usage privé uniquement)

Le VILLE DU HAVRE, ainsi baptisé en 1948, est l'ancien Liberty ship WILLIAM M. EASTLAND, lancé le 13 janvier 1944 à Houston (Todd Houston Shipbuilding Co). Il devint LE HAVRE en janvier 1947 et navigua pour la Nouvelle Compagnie Havraise Péninsulaire sur la ligne de l'Océan Indien. Fin 1959, sa gérance passant à la Compagnie Havraise de Navigation Corblet, il redevint LE HAVRE. mais c'est sous le nom de TEGEAN (pavillon chypriote) qu'il fut ferraillé en 1969 à Shanghai, non sans s'être entre temps appelé ALMAR (pavillon uruguayen). (Source : Les Liberty ships, Jean-Yves Brouard, Glénat, 1993)

Françoise Massard

Nous évoquions récemment « une » peintre officielle de la Marine : Anne Smith. Dans ce cercle fermé — créé en 1830 — des « Peintres de Marine », composé d’une quarantaine de membres dont la moitié environ de titulaires (les autres étant agréés), les femmes ne sont pas légion : elles ne sont que trois ! Pourtant, cette reconnaissance prestigieuse a également été décernée en 1995 à « une » autre peintre : Christiane ROSSET : ce fut même la première !
Sur ses toiles, vous noterez, à côté de sa signature, une petite ancre : c’est le signe distinctif des peintres officiels.