Semaine chargée à Abidjan et, cerise sur le gâteau,
le record de productivité est « tombé ».
Le DEIKE
RICKMERS a débuté ses opérations
mercredi dernier à 16h24, il fut terminé le lendemain
à 13h16. Les 1 726 mouvements réalisés
donnent une productivité moyenne de 82,7 mouvements à
l’heure. Comme les photos en témoignent, il était
presque à ses marques avec seulement deux plans de pontée.
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Après avoir terminé
le DEIKE RICKMERS, les portiques sont passés sur le CMA
CGM CAPRICORNE (St. John's), un « petit gros »
de chez Sietas. Les deux autres vues montrent un transbordement
de thons en lagune et un essai d’embarcation à bord
du DELMAS MASCAREIGNES
(Majuro). |
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IMO 9064035 - 181,50x24,50x14,05 m
- TE 10,40 m - JB 16 233 - JN 9 010
- PL 21 625 t - P 12 500 kW (mot.
MAN B&W 9L58/64) - V 20 nds - Grues 3 x 45 t
- Cap. 1 661 evp (150 + 20 reefers)
/ GRN 30 551 m3 - Constr. 1993 (J.J. Sietas
KG Schiffswerft, Hambourg) - Propr./Gérant Reederei - Opér.
CMA CGM - Pav. ATG - Ex LA PALOMA - Ex LYKES
OSPREY - EX NIVER MED - Ex EXPERT
- Ex RED SEA EXPERT. |
Appareillage du MSC BULGARIA
(Monrovia) déjà connu à Abidjan.
IMO 8302143 - 202,0x30,0x15,5 m - TE 9,6 m
- JB 30 824 - JN 12 995 - PL 25 684
t - P 16 390 kW - V 19,2 nds - Cap. 1 939 evp
(176 reefers) - Constr. 1988 - Pav. LBR - Ex KESTREL I
- Ex PELICAN I.
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Avant chaque escale,
le terminal choisit le bord à quai des navires. Pour ce faire,
nous tenons compte principalement des «obstructions»
causées par les conteneurs restant à bord. Il est
évidemment plus avantageux, en terme de productivité,
d’éviter de passer au-dessus d’un mur pour aller
travailler aux positions définies par le coordinateur. A
Abidjan, les navires qui accostent bâbord à quai doivent
faire le tour de la lagune pour se présenter, l’heure
de début des opérations s’en trouve donc retardée. |
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A l’appareillage,
le navire est déjà «dans le bons sens»
et peut donc engainer le canal de Vridi sans refaire un tour dans
la lagune. Les navires accostant tribord à quai prennent
parfois un raccourci à l’appareillage : dans ces cas-là,
le rayon de giration est assez serré, barre à gauche
toute, l’arrière restant proche du quai pendant l’évitage,
ce qui permet un angle de prise de vue intéressant. Lorsque
le navire est doté de propulseurs, et que le temps le permet,
le remorqueur se contente de rester en «stand-by», je
crois d’ailleurs que la facturation du mouvement est différente
dans ce dernier cas. Ici, le KUMASI
(Nassau). |
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